Comme à l’accoutumée, nous célébrons ce 20 mars la Journée internationale de la Francophonie. Cette date fait référence à la fondation, le 20 mars 1970, de l'Agence de coopération culturelle et technique, devenue plus tard l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF).

D'une initiative politique est né un catalyseur de programmes dynamiques à travers cinq continents. Portée par nos gouvernements, l’OIF est parvenue en 55 ans d’existence à définir de nouvelles priorités pour inspirer des générations et à impacter des communautés de locuteurs du français. 

Ce 20 mars, nous célébrons bien plus que l’OIF. Nous célébrons notre langue, notre lien. En 2025, la langue française rassemble plus de 300 millions de locuteurs sur la planète. Au-delà d'un espace géographique porteur d’espoir pour la paix et le développement durable, d’opportunités académiques et économiques, c'est un monde pour le partage des cultures et pour nouer des liens. En somme : un passé, un présent, un destin en langue française.

La maxime "Créer, innover, entreprendre en français" du XIXᵉ Sommet de la Francophonie insiste sur le besoin de densifier la francophonie et de lui donner corps avec des idées concrètes et des initiatives impactantes. Ces efforts doivent être canalisés et la société civile joue un rôle pivot pour maintenir le référencement global de notre langue.

Résolument engagés en cette Journée internationale de la Francophonie, nous avons à cœur de vous adresser un message de ralliement dans la francophonie pour entretenir ces liens.

Chaque année, une personne sur sept dans le monde participe à une action de bénévolat. L'activité volontaire complète le travail des institutions et des organisations gouvernementales et correspond aux aspirations des populations d'impacter durablement leurs communautés.

Francophonie sans frontières, dont la raison d'être est "Ensemble, créons des liens durables pour la francophonie", s'engage à développer des projets à impact, liés à la culture, à la mobilité, au développement durable et à la formation.

J’en appelle à vous, qui (re)découvrez Francophonie sans frontières. Rejoignez-nous sans plus tarder, adhérez, écrivez-nous, suggérez et surtout, bâtissez. Il n’existe pas de petites contributions dans le volontariat. Porté par votre amour de la langue et d’une communauté diverse, par votre ouverture sur le monde, vous pouvez faire la différence. Quelle différence voulez-vous y apporter ? Dites-le !

En avril, notre organisation recherchera également des mécènes qui veulent s’adresser aux milliers de francophones que nous côtoyons avec nos projets. Il n'est clairement pas évident, face aux sollicitations, de choisir une organisation méritante et de calculer le potentiel de vos dons. C'est pour cette raison que nous sommes à votre écoute pour développer un partenariat réciproque et fructueux.

Agréée auprès de l'Organisation internationale de la Francophonie, nous avons travaillé avec les institutions parmi les plus prestigieuses comme Affaires mondiales Canada, le ministère de la Culture français, l'Académie française, l'Assemblée parlementaire francophone pour mener à bien des projets.

Organisation internationale non gouvernementale reconnue d'intérêt général, nous précisons que vos dons sont susceptibles d’être valorisés en France. Ensemble, les valeurs de vos organisations, entreprises et fondations seront portées à l’international et à nos côtés.

Chers francophones, chères francophones, 

Le 20 mars est une communion des synergies francophones. Le 20 mars est cependant plus qu’une célébration : c’est un appel à l’action. C’est la prise de conscience, au moins un jour par an, qu’une identité et un élan commun se véhiculent avec notre langue. Souvenons-nous que l’opportunité francophone mérite nos efforts et notre investissement.

Alors, vous qui pensez, écrivez et entreprenez en français,

Vous, chers francophones, qui vous impliquez à rendre la francophonie plus riche, plus vivante,

Prenez la parole et agissez pour qu’ensemble nous puissions célébrer chaque année le plus beau des 20 mars.

Pour qu’ensemble, nous puissions créer des liens durables pour la francophonie.»